Il y a quelques semaines, j'ai découvert la série Black Mirror...
Has-been !!!!! me diront les plus connectés d'entre vous... Seulement voila, le thème récurrent des dérives de notre société ultra connectée me fascine. D'abord en tant qu'humain passionné, souvent troublé par cette lame à double tranchant que représente le progrès, mais aussi en tant qu'auteur qui se demande constamment comment faire exister sa photographie... sur les réseaux, dans les coeurs, sur le papier, les magazines, etc.
Pourquoi choisir me direz vous?
Je suis tombé sur un article passionnant tout à l'heure... Une histoire de légumes, euh non de brocoli, ou d'arbre... Une histoire de passion du partage, de vision rêvée qui finira à la casserole... Attends, je me suis perdu... Pour tout savoir sur ce fameux brocoli... c'est ici.
Alors je me suis posé la question de la société dans laquelle nous vivions ? En mode penseur de rodin, le poing dur sur le menton et le corps tendu comme un slip... j'ai pas tenu 3 minutes avant que mon whatsapp ne me sorte de mon intense concentration...
Partage intempestif, Immédiateté, mais aussi oubli… enfin on aimerait… on connait les débats sur le droit a l’oubli ou même les questions qui se posent quand à la vie après la mort sur les réseaux. A ce stade, je me lance dans le débat ou pas ?? Non vous avez raison, on va en garder pour plus tard...
Selon le blog du modérateur, "Nous retweetons plus facilement de fausses informations que des faits vérifiés", j'ai trouvé des chiffres hallucinant dans leur article.
Et cette phrase qui te marque au fer rouge…
La portée émotionnelle est celle qui m’importe… D’ou la photo choisie pour illustrer cet article.
Une image qui m’avait tant marquée à l'époque… une image de mort, mais aussi un temps de fête et de célébration…
c’est tabaski au Mali… Cette année par exemple(Septembre 2017) la fête était placée sous le signe de la paix et de la réconciliation nationale au Mali. Les grandes places et les espaces étaient tous occupés par les fidèles musulmans. Les imams, dans leurs différents sermons, ont parlé de l’importance du sacrifie d’Abraham mais surtout de la paix et de la réconciliation au Mali.
Donc vous vous demandez surement comment je suis passé de l’art du partage, des dérives de nos technologies au symbole de purification intérieure que constitue une fête religieuse quelle qu’elle soit…
Bien c’est facile (As I make it up:-)... C’est une invitation à se poser la question de ce que l’on partage sur les réseaux, de l’influence que ça peut avoir, de la trâce que l'on laisse ainsi, indélébile et éternel flottement sur la toile et de notre responsabilité…